jeudi 3 avril 2014

UN MINI-SMIC POUR LES JEUNES A L'ETUDE ?

Pascal Lamy déchaîne les passions sur internet en proposant un smic jeunes, payé moins que le smic horaire normal.
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Les jeunes, ils ont le service civique à 6 euros de l'heure. Ce qui est largement en dessous le smic horaire. Les droits doivent être les mêmes pour tous. Donc il serait normal qu'il y ait un RSA jeunes(pour ceux qui ne sont plus chez leurs parents. Et qui doivent survivre). Et il me semble que les entreprises préfèrent engager des jeunes, plutôt que des vieux chômeurs. Pour pouvoir certainement exploiter leur naiveté. Et investir dans leurs formations. Les moins qualifiés ne peuvent plus travailler, car les entreprises demandent des qualifications et diplômes pour des postes, que n'importe qui pourrait faire. Et sont tentés de prendre les plus diplômés. Et les plus diplômés sont tentés d'accepter tout ce qui est disponible, pour pouvoir survivre.  Si parmi ces jeunes, il y a des illettrés ou d'autres cas sociaux. N'est-il pas nécessaire de les former et de leur apprendre à lire et à écrire ? Et de tenter de régler les problèmes de chacun. Avant de les obliger à travailler avec 50% de salaires en moins. Pourquoi ne pas les vendre aux roms pendant qu'on y est ? Des entreprises recrutent des sdf et des jeunes à la sortie des associations caritatives, en leur proposant un travail nourri et logé. A l'arrivée, ils dorment dans des caravanes, ne sont nourris que le soir et travaillent 60 heures par semaine, en n'étant déclarés que 20 heures. Mieux sans forcément être payés.
Beaucoup sont déjà payés en fonction des résultats qu'ils obtiennent, sans aucune garantie d'avoir à l'arrivée, un minimum.

Un peu de régulation et d'égalité ne ferait pas de mal.

Le RSA, c'est l'équivalent de 12 heures d'activité par semaine. un peu plus de 2 heures par jour ouvré.
Il faudrait plutôt faire travailler tout le monde deux heures par jour. Pour que ces gens retrouvent leur dignité. Et bien-sûr simplifier leurs conditions de vie et d'accèssibilité au logement. Il faudrait aussi les respecter. Car dans le lot, il y en a, qui sont bien-sûr dans l'impossibilité de travailler.

 

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